Bovins de boucherie La demande est atone
L’abattage des animaux de concours perturbe quelque peu l’activité. La consommation ne montre aucun dynamisme.
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La tendance est lourde sur les marchés. Des invendus sont répertoriés, malgré des volumes un peu moins étoffés à Cholet. Les tarifs sont discutés en parthenaises et blondes d’Aquitaine. Les bonnes lourdent se négocient entre 4,35 et 4,80 €. Les blondes plus communes se vendent entre 3,96 et 4,30 € et celles de moindre conformation ou légères entre 3,50 et 3,90 €.
Les transactions sont également difficiles pour les bonnes femelles charolaises U, qui se vendent entre 3,65 et 3,96 €. La tendance est également baissière dans les R, avec une fourchette comprise entre 3,40 et 3,55 €.
Les industriels maintiennent la pression sur les réformes laitières. Les bonnes prim’holsteins O se négocient entre 2,60 et 2,65 €, en fonction des abattoirs. La majorité des vaches laitières sont de conformation P=2 ou 3 et se négocient entre 2,30 et 2,45 €, en fonction du poids. Les vaches en manque de finition ou de poids restent faiblement valorisées, entre 1,50 et 1,80 €.
Le commerce reste en revanche très fluide pour les jeunes bovins, même si les volumes sont plus étoffés. Le marché est plus équilibré, ce qui conduit à une stabilisation des prix. Les charolais U se vendent de 4,10 à 4,20 €.
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